Dr Amine Benchikh

Prendre RDV en ligne

Menu

Les pathologies

Table des matières

 

Cancer de la prostate

Il peut se présenter sous la forme d’une tumeur localisée (circonscrite à la prostate) ou sous une forme évoluée, avec des métastases ganglionnaires et osseuses.

La prostate est une glande hormono-dépendante comme le sein chez la femme.

Lire la suite

 

Cancer de la voie excrétrice du haut appareil urinaire

Chaque organe de l’appareil urinaire est tapissé d’une muqueuse (urothélium).

Cette même muqueuse qui recouvre la vessie et l’urèthre (bas appareil urinaire) tapisse également la paroi des uretères, du bassinet et des calices qui constituent le haut appareil. Cette muqueuse urinaire est susceptible de subir des altérations (carcinomes urothéliaux) quelle que soit sa localisation.

Lire la suite

 

Cancer du pénis

Vous êtes porteur d’une lésion bourgeonnante ou ulcéreuse située au niveau du pénis, le plus souvent au niveau du gland, voire du prépuce.

Lire la suite

 

Cancer du rein

Lire la suite

 

Cancer du testicule

Le cancer du testicule est en nette augmentation depuis une trentaine d’années.

Cette tumeur a considérablement bénéficié des progrès de la chimiothérapie qui a transformé son pronostic avec un taux actuel de guérison de 95 % tous stades confondus.

Lire la suite

 

Corticosurrénalome

La corticosurrénale désigne la zone périphérique des glandes surrénales qui élabore et secrète les corticostéroïdes à partir du cholestérol. Ces secrétions peuvent être insuffisantes ou excessives. Le corticosurrénalome est une des tumeurs malignes de la surrénale.

Lire la suite

 

Cystite interstitielle

Cette pathologie inflammatoire de la vessie au mécanisme encore mal connu se différencie totalement de la cystite infectieuse traditionnelle. Mise en évidence en 1915, individualisée alors sous le nom d’ulcération de Hunner, il a fallu attendre 1978 pour comprendre qu’elle provoquait des douleurs d’origine vésicale. Cette maladie de la paroi vésicale qui possède vraisemblablement une composante immunologique, n’est pas d’origine infectieuse mais s’accompagne de signes d’inflammation et d’irritation vésicale. On observe une augmentation des lymphocytes et des mastocytes (cellules de l’inflammation) comme dans les maladies allergiques, immunitaires. Elle est dite idiopathique (sans cause connue).

Lire la suite

 

Dysurie

Homme ou femme, vous ressentez des difficultés à uriner. Vous êtes obligés de pousser pour vider votre vessie. Vous avez le sentiment qu’elle ne se vide pas complètement.

Ces difficultés sont en rapport avec un obstacle uréthral et/ou un défaut de contraction vésicale.

La miction est un équilibre entre les forces d’expulsion de la contraction vésicale et la résistance uréthrale, majorée en cas d’obstacle anatomique.

Lire la suite

 

Ectopie testiculaire ou Cryptorchidie

Votre enfant présente une localisation anormale et inaboutie du testicule, censé migrer dans les bourses au cours du développement embryonnaire.

Lire la suite

 

Hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) – Adénome prostatique

L’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP ou adénome de la prostate) est une situation très fréquente chez l’homme. Son incidence augmente avec l’âge.

La prostate, située sous la vessie et autour de l’urèthre (canal conduisant l’urine de la vessie vers l’extérieur.) est également le lieu d’abouchement des canaux éjaculateurs et des vésicules séminales. La prostate est donc située à un carrefour entre la voie urinaire et la voie séminale. Les sécrétions prostatiques participent à la composition du sperme et la prostate joue un rôle dans le déroulement de l’éjaculation.

Avec l’âge, la prostate se modifie en grossissant et devenant moins souple. Par sa position, elle peut entraîner un inconfort et une gêne au moment d’uriner. Bien que l’HBP soit présente chez plus de 80 % des hommes de plus de 80 ans, ces modifications ne posent pas de problèmes à tous les hommes. Toutefois près de 100 000 nouveaux hommes se plaignent chaque année de troubles urinaires pouvant être en rapport avec cette hyperplasie.

En l’absence de complications (rétention, infection, calcul, insuffisance rénale), le traitement médical constitue la première approche mais en cas d’échec, il faut envisager une intervention afin de rétablir une miction correcte.

Lire la suite

 

Incontinence urinaire de la femme

L’incontinence urinaire est la perte involontaire des urines par l’urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant entrainer une gêne sociale significative.

Lire la suite

 

Incontinence urinaire masculine

Bien que moins prédisposé, pour des raisons anatomiques, à l’incontinence que la femme, l’homme est parfois victime de fuites dans des proportions plus faibles que la femme.

Il existe plusieurs formes d’incontinence chez l’homme :

  • l’incontinence par hyperactivité de la vessie, contraction désordonnée de la vessie aboutissant à des fuites ou par envie irrépressible. Cette situation peut être liée à une hyperplasie de la prostate ou à une vessie neurologique.
  • l’incontinence par incompétence du sphincter, le plus souvent liée à une intervention chirurgicale pour cancer de la prostate.
  • l’incontinence par regorgement liée à une rétention chronique d’urines par un obstacle (hyperplasie bénigne de la prostate) ou par une mauvaise commande neurologique de la vidange.

Il ne faut pas considérer comme fuite urinaire les gouttes retardataires présentes à la fin de la miction liée à l’évacuation plus tardive de l’urèthre qui surviennent quand « le patient se rhabille ».

Certaines maladies telles que le diabète, les maladies neurologiques telles que les accidents vasculaires cérébraux, la maladie d’Alzheimer ou la maladie de Parkinson peuvent occasionner une incontinence urinaire, le traitement de ces maladies améliore l’incontinence et évite la dégradation vésicale.

Lire la suite

 

Insuffisance surrénalienne

La pathologie se décline sur le mode chronique et/ou aigu et peut découler

  • soit d’une atteinte congénitale des deux glandes surrénales avec un blocage de la synthèse des hormones surrénaliennes,
  • soit, d’une insuffisance de sécrétion après ablation chirurgicale des surrénales,
  • soit d’un dysfonctionnement des deux surrénales après une atteinte auto-immune, une infection ou un traitement médicamenteux qui bloque la synthèse des hormones surrénaliennes.

L’insuffisance surrénalienne est à distinguer de l’insuffisance corticotrope qui correspond à une anomalie de la commande des surrénales, secondaire à une maladie hypophysaire ou à une corticothérapie prolongée.

Lire la suite

 

Kyste du cordon et de l’épididyme

Le cordon est la structure qui relie le testicule et l’épididyme à l’abdomen. Il comprend les vaisseaux vascularisant le testicule et le canal déférent qui amène les spermatozoïdes du testicule à la prostate. L’ensemble passe par le canal inguinal.

L’épididyme est constitué d’un canal microscopique très long parcouru par les spermatozoïdes : le tube épididymaire.

Le kyste du cordon se forme le long du cordon spermatique.

Le kyste de l’épididyme se présente sous la forme d’une tuméfaction régulière et indolore remplie de liquide. L’origine de ce ou ces kyste(s) est inconnue. Il est inutile de les enlever sauf s’ils deviennent volumineux ou gênants.

L’ablation n’entraîne théoriquement aucune conséquence sur la fécondité. Elle se fait par une voie d’abord élective en regard du kyste dans le haut de la bourse.

Les kystes survenant sur le cordon ou sur l’épididyme sont, décelables à l’auto-palpation et sont des tumeurs toujours bénignes.

La fréquence exacte est inconnue, mais ils n’ont rien d’exceptionnel. Ils peuvent survenir à tout âge sans créer de réels problèmes.

Leur impact sur la fécondité n’a pas été étudié, mais est probablement nul.

Lire la suite

 

Pollakiurie

La pollakiurie fait partie du cortège des troubles mictionnels associés à l’hyperactivité vésicale. Elle désigne l’élévation anormale du nombre de mictions quotidiennes.

La pollakiurie n’est pas toujours associée à l’envie pressante ou urgenturie (Cf incontinence par impériosités).

Lire la suite

 

Reflux vésico-rénal

Vous êtes victime d’un reflux urinaire de nature à provoquer des lésions rénales dues à la prolifération de bactéries et à une augmentation de la pression.

Ce reflux est :

  • soit primaire et congénital : anomalie intervenue dans le développement anatomique de la jonction urétéro-vésicale, telle que l’uretère se retrouve abouché à plein canal dans la vessie ; cette dernière n’assurant plus sa fonction de clapet.
    Chez l’enfant, le reflux serait influencé par des facteurs génétiques repérables par exemple chez les jumeaux d’une même famille.µ
    Cette prédisposition héréditaire élevée incite à se montrer vigilant envers les familles connues pour reflux.
    Au moins 20 % des reflux et notamment des reflux massifs s’accompagnent d’un défaut de développement du rein (appelé dysplasique) et d’une diminution définitive de la fonction rénale.
  • soit secondaire, en raison d’un régime de haute pression dans la vessie. Cette pression élevée peut être due à un obstacle à la miction (valve de l’urèthre, rétrécissement de l’urèthre) soit à un mauvais fonctionnement de la vessie (simple tendance à se retenir trop longtemps, vessie neurologique)

Lire la suite

 

Rétention d’urine

Problème survenant préférentiellement chez l’homme qui, anatomiquement est plus prédisposé à la rétention qu’à la fuite, la rétention urinaire peut prendre une allure extrêmement douloureuse dans sa forme aiguë (impossibilité totale d’uriner et de vider sa vessie) ou passer inaperçue dans sa forme chronique.

Lire la suite

 

Torsion du testicule

La torsion du testicule est un problème mécanique qui s’explique par un défaut de fixation du testicule à l’intérieur de la bourse apparaissant au cours du développement.

Elle constitue une urgence chirurgicale urologique.

Lire la suite

 

Tumeurs de la vessie

Ces lésions vésicales favorisées par le tabagisme et l’exposition à des facteurs professionnels ou environnementaux (arsenic, pesticides, cancérogènes industriels) s’observent fréquemment chez les plus de 50 ans. Ces tumeurs sont enlevées par les voies naturelles sous caméra et donc analysées au laboratoire. L’analyse des « polypes » permet de juger de leur agressivité et en particulier de distinguer les formes superficielles (n’atteignant pas le muscle vésical) et les tumeurs infiltrantes.

Lire la suite

 

Vessie neurologique

Vous avez eu un accident qui a provoqué un traumatisme de la colonne vertébrale entraînant une blessure de la moelle épinière. Cette atteinte médullaire a été responsable d’une paraplégie ou d’une tétraplégie. Peut-être êtes-vous né avec une malformation de la moelle épinière, un spina-bifida. Ces lésions médullaires ont d’importants retentissements urinaires. Une interruption de l’influx nerveux qui chemine du cerveau jusqu’à l’extrémité de la vessie peut retentir sur la miction. Pour la même raison, d’autres maladies (comme la sclérose en plaques) peuvent entraîner une lésion de rupture des voies neurologiques vésicales et par conséquent des troubles urinaires d’intensité variable.

Il est aussi possible de souffrir de troubles urinaires en raison d’une atteinte du cerveau (accident vasculaire cérébral, maladie de Parkinson…).

Lire la suite